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Stellan - Terminé
Stellan - Terminé Dim 22 Aoû - 15:00
Messages : 7
Date d'inscription : 22/08/2021
Date d'inscription : 22/08/2021
Quand il rit, solaire, quand il passe une main dans ses cheveux roux pour les ramener en arrière, il illumine les lieux. Ses yeux, entre vert et noisette, ont souvent une lueur d’amusement, qui s’accompagne d’un sourire en coin. Stellan ne parle pas beaucoup, pas pour rien, il écoute beaucoup, donne son attention, penché, offert aux autres comme une barrière qu’il pose pour ne pas avoir à parler de lui. Passé pro dans cette discipline, ça en devient ridicule comme on peut se rendre compte qu’on le connait et, en même temps, absolument pas. Secret, il n’explique pas les deux tresses qu’il laisse pousser précieusement, les deux bagues qu’il porte autour du cou, dont la perte le ferait dégonder facilement. Deux anneaux ronds de taille différentes, l’un qui pourrait lui aller, certainement.
Quand il s’assombrit, quand il s’énerve - si rarement pourtant - il se referme sur lui-même. Pas moyen d’en tirer un mot, il faut que ça sorte. Il accepte d’être accompagné quand il se défoule, en courant, en frappant dans un sac de frappe, mais pas un mot, c’est la règle d’or. Les quelques fois où il a été mêlé à des combats de bar, il s’en est bien sorti, même si c’était pour ensuite laisser les émotions descendre chez lui sous la couette.
C’est en bossant dans une animalerie qu’il se décida : plus tard, il serait vétérinaire. Ou, en voyant les prix des années d’études, juste assistant. Il n’était pas assez bon pour avoir une bourse d’études, mais il refusait de voir ceux qui l’avaient élevé s’endetter pour lui. A 21 ans et le diplôme en poche, il commença à travailler, rembourser son prêt étudiant et s’occuper de ses grands-parents vieillissants. Il ne déménagea pas, pour rester auprès d’eux, surtout lorsque sa grand-mère tomba fortement malade. Les factures s’entassaient, la santé n’allait pas mieux et l’issue était inéluctable. Stellan ne s’attendait pas à ce que son grand-père suive de si près, emporté par le chagrin, et vendit tous leurs biens pour payer les factures restantes.
Orphelin pour la seconde fois, il s’installa dans un studio et se plongea dans le boulot un peu plus, comme pour compenser. Refuser de voir que tout ça l’avait ébranlé, qu’il était plus sur les nerfs. Assez pour briser le nez du vétérinaire chez qui il travaillait, lorsqu’il réalisa que celui-ci harcelait sa collègue - plus jeune d’une bonne quinzaine d’années. La jeune femme ne voulait pas porter plainte, le vétérinaire accepta de ne pas le faire contre son silence et son départ.
Stellan avait 26 ans, plus rien qui le retenait à New York et une annonce pour une recherche d’assistant dans un cabinet vétérinaire de Best Valley attira son attention. Bon salaire, nouvelle ville, pourquoi ne pas essayer ? Il n’était pas encore prêt à utiliser l’application pour se trouver une âme soeur, mais pas contre le principe, dans l’absolu. Et surtout… S’il pouvait s’assumer un peu plus, apprendre à vivre pour lui à présent qu’il était seul, ça ne pouvait être que positif.
Les alliances de ses grands-parents au cou et ses animaux avec lui, Stellan partit s’installer à Best Valley, prêt à s’y faire une nouvelle vie.
Deux perruches, un poisson rouge et 3 écrevisses, un chat à trois pattes et un autre aveugle, une collection d’araignées, voilà la ménagerie qui vit dans le, certes grand pour un T2 mais T2 quand même, de Stellan.
Norwood Stellan
La lumière juste au bout de ses lèvres
Surnom
Stèle
Age
27 ans
Sexualité
homosexuel
Nationalité
américain
Métier
assistant vétérinaire
Groupe
Coeur à prendre
Avatar
Ash de Valentina Remenar
Vous
Alia - Chaaaats !
La psycho de votre perso, mélangée avec le physique parce que.
C’est une force tranquille, des mains, surtout, larges et douces, aimantes, qui ont l’habitude de manipuler avec fermeté et douceur. Abîmées par son métier malgré le soin qu’il y apporte, on lit son histoire dessus plus efficacement que dans leurs lignes. Sa carrure est à l’avenant, musclé, relaxant, sans aller vers l’abandon. C’est plutôt le sentiment qu’il inspire, quand il parle de sa voix basse et chaude, rassurante pour les hommes comme pour les animaux. Quelqu’un sur qui on peut compter, sur qui on peut s’appuyer. Des bras forts qui soutiennent, une personnalité qui semble pouvoir faire de même. Une douceur infinie lorsqu’il soigne, lorsqu’il écoute, lorsqu’une main chaude se pose sur la vôtre pour vous faire comprendre qu’il est là, quoi qu’il se passe.Quand il rit, solaire, quand il passe une main dans ses cheveux roux pour les ramener en arrière, il illumine les lieux. Ses yeux, entre vert et noisette, ont souvent une lueur d’amusement, qui s’accompagne d’un sourire en coin. Stellan ne parle pas beaucoup, pas pour rien, il écoute beaucoup, donne son attention, penché, offert aux autres comme une barrière qu’il pose pour ne pas avoir à parler de lui. Passé pro dans cette discipline, ça en devient ridicule comme on peut se rendre compte qu’on le connait et, en même temps, absolument pas. Secret, il n’explique pas les deux tresses qu’il laisse pousser précieusement, les deux bagues qu’il porte autour du cou, dont la perte le ferait dégonder facilement. Deux anneaux ronds de taille différentes, l’un qui pourrait lui aller, certainement.
Quand il s’assombrit, quand il s’énerve - si rarement pourtant - il se referme sur lui-même. Pas moyen d’en tirer un mot, il faut que ça sorte. Il accepte d’être accompagné quand il se défoule, en courant, en frappant dans un sac de frappe, mais pas un mot, c’est la règle d’or. Les quelques fois où il a été mêlé à des combats de bar, il s’en est bien sorti, même si c’était pour ensuite laisser les émotions descendre chez lui sous la couette.
Son histoire
Stellan avait deux ans lorsque ses parents sont morts. Il n’en a comme souvenirs que la manière qu’avait son grand-père de tempêter contre tout et rien au sujet de ces attentats, et les histoires de sa grand-mère au sujet de ses parents. Coupé du côté paternel de sa famille, et pas réellement intéressé par les connaître, l’enfant a été élevé par ses grands parents et les a longtemps considéré comme ses propres parents. Il a rapidement compris que ceux-ci ne roulaient pas sur l’or, et prit rapidement l’habitude de proposer ses services pour les soulager un peu : tondre la pelouse des voisins contre quelques dollars, nettoyer les voiture, sortir les animaux… Et de vrais petits boulots dès que ce fut légal, le week-end et les étés.C’est en bossant dans une animalerie qu’il se décida : plus tard, il serait vétérinaire. Ou, en voyant les prix des années d’études, juste assistant. Il n’était pas assez bon pour avoir une bourse d’études, mais il refusait de voir ceux qui l’avaient élevé s’endetter pour lui. A 21 ans et le diplôme en poche, il commença à travailler, rembourser son prêt étudiant et s’occuper de ses grands-parents vieillissants. Il ne déménagea pas, pour rester auprès d’eux, surtout lorsque sa grand-mère tomba fortement malade. Les factures s’entassaient, la santé n’allait pas mieux et l’issue était inéluctable. Stellan ne s’attendait pas à ce que son grand-père suive de si près, emporté par le chagrin, et vendit tous leurs biens pour payer les factures restantes.
Orphelin pour la seconde fois, il s’installa dans un studio et se plongea dans le boulot un peu plus, comme pour compenser. Refuser de voir que tout ça l’avait ébranlé, qu’il était plus sur les nerfs. Assez pour briser le nez du vétérinaire chez qui il travaillait, lorsqu’il réalisa que celui-ci harcelait sa collègue - plus jeune d’une bonne quinzaine d’années. La jeune femme ne voulait pas porter plainte, le vétérinaire accepta de ne pas le faire contre son silence et son départ.
Stellan avait 26 ans, plus rien qui le retenait à New York et une annonce pour une recherche d’assistant dans un cabinet vétérinaire de Best Valley attira son attention. Bon salaire, nouvelle ville, pourquoi ne pas essayer ? Il n’était pas encore prêt à utiliser l’application pour se trouver une âme soeur, mais pas contre le principe, dans l’absolu. Et surtout… S’il pouvait s’assumer un peu plus, apprendre à vivre pour lui à présent qu’il était seul, ça ne pouvait être que positif.
Les alliances de ses grands-parents au cou et ses animaux avec lui, Stellan partit s’installer à Best Valley, prêt à s’y faire une nouvelle vie.
Des détails
Deux perruches, un poisson rouge et 3 écrevisses, un chat à trois pattes et un autre aveugle, une collection d’araignées, voilà la ménagerie qui vit dans le, certes grand pour un T2 mais T2 quand même, de Stellan.
Re: Stellan - Terminé Dim 22 Aoû - 15:12
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