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Gavin Lewis

Gavin Lewis

Gavin Lewis


Messages : 19
Date d'inscription : 12/04/2021

     
Gavin R… Lewis
Boys will be boys
111.jpg
Surnom
Gav
Age
36 ans
Sexualité
BI ! Non, gay refoulé
Nationalité
Américaine
Métier
commercial
Groupe
HINI
Avatar
Gavin Reed de Détroit Become Human
Vous
SGNBLG, Chaussette est mon cri de guerre
La psycho de votre perso
Gavin n’est pas vraiment un rigolo. Il a souvent cette mine blasée qui laisse croire qu’il est mal luné, ou occupé. Il est plutôt préoccupé depuis qu’il est dans la ville, et ne lâche sa tête renfrogné qu’en faisant du sport ou en dormant, voire quand il est au travail. D’ailleurs, entre le travail et la vie personnelle, il y a deux Gavin distincts. Le premier, confiant, blagueur, rieur, commercial à souhait. Le second, plus renfermé et silencieux, qui pourtant reste curieux et autant que possible ouvert à ce monde encore étranger.
Gavin ne parle jamais vraiment de lui, plus de choses à faire, ou des autres. Il n’a pas appris à exprimer ce qu’il ressent, pensant devoir tout garder, rester de marbre, et finir par imploser ou se carapater pour tous les prétexte. Il a un caractère violent et apprendre à changer est un vrai travail d’Hercule. Mais c’est un homme de parole et s’il promet quelque chose, sauf en cas de force majeure, il s’y tient.
Vis-à-vis de sa sexualité, il ne s’assume pas du tout, et chercher encore sa voie. Il ne supporte pas les marques d’affection en public, ou même deviner que deux personnes sont gays. Il ne les accepte toujours pas et par extension il ne s’accepte pas tel qu’il est. Il ne va plus les provoquer mais il ne faudrait pas grand-chose pour que les tourtereaux se prennent ses foudres. Mais il vit un véritable combat intérieur entre ce qu’il a toujours été, et ce qu’il commence petit à petit à comprendre de lui.


Son histoire
Gavin était un mec. Un vrai comme son père aimait le dire. Gamin bagarreur, comme les vrais garçons, ado coureur de jupons, comme les vrais, quaterback depuis le collège et boxeur depuis le lycée. Gavin, c’était un vrai mec. Il est né dans un famille aisée, dans une banlieue chic d’une ville moyenne. Pas l’ainé, pas le dernier, et surtout pas le plus sage. Boys will be boys. Il a vécu baigné dans la culture de la virilité, de la réussite, de l’autosuffisance. On chiale pas, on se rebiffe pas, on cogne ou on gueule, on emmerde les autres, on humilie les faibles et les tapettes. Gavin trouvait ça cool, d’être un mâle alpha, que les autres respectaient, suivaient, qu’ils craignaient aussi. C’était le pied.

Oui mais.

C’est pas évident d’aborder un sujet personnel avec Gavin. On se plaint pas, et on parle pas de ses problèmes. Quand t’es un vrai mec, t’as pas de problème, ou t’en parle pas. Tu les règles, point barre. Mais avec la vision biaisé qu’il avait de la masculinité, Gavin ne savait pas vraiment où mettre ses émotions et ses sentiments. Il avait une fixette sur le sport. Il aimait les sports de combat ou d’équipe, mais avec une œil étrange parfois. Il était le plus virulent quand il fallait écraser un gay, et tout le monde savait qu’il ne fallait pas lui parler d’homosexualité sans le foutre en rogne. Best One, c’était une belle merde pour justifier les pédales, rien d’autre. Il les détestait. Il n’avait jamais qu’une copine, et volait des unes aux autres sans jamais se poser vraiment. Comme un vrai mec.

Mine de rien, malgré son caractère de merde et ses coups de gueule il était une tête. La fac lui ouvrait les bras, les profs le remarquaient aussi pour ses notes, il a empoché un diplôme de commerce et le management la main dans le calbut. Une tête qui se fait respecter, un entretien avec une bonne poignée de main virile plus tard, Gavin a intégrer une grosse boîte sans problème. Sans aucun problème ? Aucun dont il parlait mais pas aucun du tout.

Gavin a commencé sa pente descendante à ce moment-là. Sa glorieuse virilité, ses années de silence et de rire gras, son obsession d’être le meilleur, au top, et male alpha. Il a commencé le café, l’alcool fort, le tabac. Il en a abusé parfois, mais sans tomber dans les dépendances crades. Juste celles qui se voient pas. Il s’usait et même pas à cause du boulot. On pouvait lui faire vendre des solutions informatique ou du shampoing, tout avait de la valeur quand il en parlait. Non, le boulot était pas un problème. Il mourrait en dedans. Mais pour lui, pour sa famille et ses amis, hors de question de cracher le morceau. C’est le stress, c’est le sport, c’est la clope. Ouais, j’arrêterai, quand j’voudrais, ouais, je me suis pas rasé, tant pis. Tu me fous la paix merde ou je t’en colle une ! Et il repartait. Ses copines le larguaient et il s’en fichait, il s’en trouvait toujours une qui voulait tomber dans ses pattes. Quel était le problème ?

Le problème, c’est qu’il les trouvaient chiantes, et moches, et connes. Le problème, c’est qu’il aimait juste leurs cheveux, et leurs ongles vernis, et que le reste, tout le reste l’emmerdaient. Elles pourraient être plus sportives, plus musclées, plus… viriles. Elles devraient être des « ils ».

C’est pas sans heurt qu’il s’est rendu à l’évidence. Non. Il a fait une connerie pour le savoir. Une monumentale connerie. Pas le genre à passer sous le tapis. Il s’est envoyé en l’air, dans tous les sens du terme. Même dans les pires.

La soirée où il n’en pouvait plus. Il s’est mis à boire, et encore, et à vagabonder. Il est tombé sur ce bar, et a bu encore, de son alcool joyeux et ouvert qu’il a quand il doit décompresser. Il y avait de gars, Ethan, un vrai canon, ses yeux, ses cheveux, son sourire, une vraie tuerie. Gavin lui a plus parlé qu’aux autres, il l’a complimenté comme il n’osait jamais le faire, et il se sentait bien à le voir répondre avec ses sourires et sa répartie qui le faisait rire. Un vrai crush. Il a hésité, pas longtemps, à le suivre.

Il n’avait pas mis longtemps non plus à lui dire qu’il n’était pas expérimenté, mais il est tombé sur un vrai pro, ou du moins quelqu’un qui lui a vraiment fait découvrir ce qu’il n’osait pas imaginer. Une vraie nuit de plaisir, une nuit fantastique.

Mais la réalité est revenue avec le jour. Il s’était levé en sursaut, une gueule de bois correcte dans la tête et dans le lit, Ethan. Qu’est-ce qu’il avait fait ? Non ça n’allait pas, non il ne devait pas l’approcher. Et plutôt que de réfléchir, il a tout mis sur le gars. Il l’a fait boire, oui, il l’a ramené oui, il a profité de lui. Pas d’autres explications et Gavin refusait de les entendre de toute façon, alors autant faire taire cet homo, de la manière forte. Le faire taire comme il faisait taire ses souvenirs et ses pensées. Il était un vrai mec, un vrai mec, un vrai mec.

L’histoire allait faire du bruit. Agression, pour Gavin, et il arrivait pas à définir ce que lui avait fait Ethan. Il peut pas parler de viol, les mecs, ça se fait pas violer. Mais l’état d’ébriété dans lequel il était la veille jouait, plus le fait que son père, sa famille tente d’étouffer l’affaire. Ma avait posé mille questions, les frangins et les cousins s’étaient tournés vers lui comme vers un nul, et Pa, Bon Dieu, Gavin n’existait plus dans les yeux de Pa le temps du procès. Non, Pa, chuis pas une tapette. Non, Pa, j’ai pas cherché ça. Non, Pa, j’ai pas aimé. Il fallait diaboliser cette nuit, la tordre et la plier dans tous les sens pour qu’elle devienne horrible, et Ethan avec. C’est bien pour ça qu’il l’avait tabassé. Il ne pouvait pas être autre chose.

L’avocate, bordel, elle a rien lâché, elle a tenu à ce que Gavin paie. Pas de « C’est juste un pédé, il l’a cherché à racoler », pas de « J’suis pas pédé moi », elle allait pas le laisser s’en sortir. Prison ferme, deux ans minimum. Et l’avocate l’a vu en tête à tête. Elle est la première à lui avoir parlé de Masculinité toxique, et d’homosexualité refoulée. L’avocat de Gavin a aussitôt mis fin à l’entretien et Gavin lui a fait un majeur. Nan, il était normal.

Et taulard. Deux ans fermes, pas moins. Gavin a fermé sa gueule, laissant Pa hurler à sa place. Et si l’avocate avait raison ? Et si c’était pas juste de l’admiration qu’il avait face aux mecs mieux bâti que lui ? Et si ses regards sur ses coéquipiers n’étaient pas les mêmes que ceux qu’ils lui donnaient ? Et si Ethan n’était pas le seul à avoir passé une bonne soirée ? Et si Gavin était pas … un vrai mec ?

Il a passé ses deux ans relativement sans histoire. Il se laissait pas marcher dessus mais il filait droit. Il réfléchissait, beaucoup. Il refusait les rendez-vous des avocats, celui que ses parents avaient engagé pour réduire sa peine, celle qui l’avait mis là et voulait lui foutre ses idées dans la têt. Gavin avait trop dans la tête. Il avait tout ce qu’il savait qui s’effondrait, et il se détestait tellement. Rien d’étonnant, s’il détestait les mecs qui couchaient avec d’autres gars. Il a fait malgré lui une cure contre le tabac, le café, l’alcool, comme il n’en prenait pas en prison. Pas au point d’arrêter, faut pas déconner. Il essayait de désencombrer son esprit. Mais il refusait la finalité qui était contre tout ce qu’il savait. Il était pas une pédale. Il a juste… dérapé. Pa et Ma seraient tellement humiliés d’avoir une tapette, la famille, les potes, le boulot… non. Il pouvait pas être comme ça. Et pis, il pouvait pas tabasser un type aussi vertement s’il était gay. Il était juste… Il savait pas.

Il savait qu’il rentrerait chez ses parents à sa sortie. Après deux ans, son appartement avait été vidé. Les coupes de football américain étaient à nouveau alignées dans sa chambre d’ado, alors même qu’il avait arrêté tous les sports d’équipe depuis la fac. Ses trop nombreux posters de pin-up, son sac de boxe, ses haltères, ses treize paires de baskets, et depuis ses costumes cravates, et quelques consoles de jeux avec les boites de jeux de bastons, de sports, de guerre. Gavin trouvait ça tellement cliché. Il était le vrai mec qu’on voulait, mais bordel qu’il était cartoonesque. Ma s’inquiétait de tout, mais elle souriait de le revoir. Pa lui a fait un énième sermon de mise en garde, plus d’écart, et pas d’histoire. Les pédales, il s’en approche plus, elles lui valent trop cher en années. Les frères et sœurs, les potes, ils ne reviennent pas encore. Ils savent pas encore s’ils peuvent.

La nuit même de son retour, Gavin a sorti son sac de sport, mis le peu d’affaires qu’il avait, un costume pas trop vieux, presque rien. Il avait économisé quelques centaines de dollar en bossant en prison, mais il n’emmena pas le téléphone que lui avait racheté son père. Des fringues, un vieux pc portable d’avant son incarcération, quelques clés USB, et son briquet. Le sac était presque vide. Un post-it sur sa porte avant de partir. « Je vais réfléchir ». Il a marché jusqu’à l’aube, a pris ensuite le bus, des cars, un train. Il a erré. Quitte à être perdu, autant l’être vraiment.

Il a pas écouté Pa. Il est retourné vers des gays, mais jamais autant qu’avec Ethan. Il retrouvait pas ce qu’il avait senti, il était pas aussi bien, c’était pas vraiment ça qu’il voulait, qu’il cherchait, qu’il envisageait ou quoi que sa tête n’arrivait pas à formuler. C’était toujours des foutues tapettes. Il avait pas peur de leur foutre des torgnoles quand elles insistaient et repartait, disparaissait. Il apprenait jamais.

Il est retombé sur Best One. Un aller vers Best Valley, repas à volonté compris, lui couterait ses derniers dollars. Bah, c’était une étape, il se ferait un peu d’argent et repartirait. Vue sa gueule dans les toilettes publiques, il avait juste besoin de se poser un moment avant de reprendre. Il savait même plus s’il voyageait, s’il cherchait quelque chose ou s’il fuyait juste.
Des détails et/ou votre physique
Taille : 5.9 ft (1.79 m)
Poids : 176 lbs (80 kg)
Couleur des Yeux : Gris
Couleur des cheveux : Brun
Signes particuliers : cicatrice sur le nez plus d’autres sur le corps, cernes marqués, barbe de trois jours, rarement coiffé, épaules larges, taille étroite.
Ancien quaterback, fait de la boxe et du yoga, aime les chats, a des goût vestimentaires douteux (thrift shop), ne pleure pas devant mais aime les comédies romantiques et les téléfilms de ménagère. Il ignore que ses parents ont divorcé, ses cicatrices viennent des match de football américains et des combats dans lesquels il se lance trop souvent mais qu’il gagne pas mal. Il regrette ses baskets qu’il n’a pas emmenés, il joue un peu aux jeux vidéo mais s’il est seul, ce n’est pas un tryharder.
Ethan Fang

Ethan Fang


Messages : 31
Date d'inscription : 12/04/2021

     
Hellooo you ~:hearts:
Dwayne Olhagaray
Admin

Dwayne Olhagaray


Messages : 85
Date d'inscription : 30/03/2021

     https://bestone.forumactif.com
Bon vous deux là, oui vous deux vu que vous avez postez dans vos fiches respectives là xDDD
J'vous valide, j'vous donne pas encore les info parce que j'ai pas fini le forum BORDEL xDDD

Mais si vous soulez RP en attendant, faites vous plaiz', j'vous enverrais les consignes par la poste dès que j'aurais fini #pan !

ALLEZ GO LES POULETS !


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